Tolérance - Liberté - Fidélité... Pardonner, mais ne pas oublier.
La Petite Eglise a aujourd'hui plus de deux siècles. Elle est née spontanément tant en France qu'en Belgique du refus de certains fidèles catholiques de se soumettre à un nouvel ordre social et religieux émanant d'un nouveau pouvoir politique né de la Révolution Française de 1789, puis du Concordat napoléonien de 1801.
Elle subsiste encore aujourd'hui, constituant une communauté chrétienne dynamique forte de 440 000 fidèles dans le monde.
D'abord contrainte à la clandestinité, notre Église est désormais bien intégrée au sein du paysage religieux contemporain. L’Archevêque Catholique de Lyon, le Cardinal Gerlier, a été l’instigateur d’une politique de rapprochement avec le Vatican. Le Saint-Siège a déjà nommé deux visiteurs apostoliques, Monseigneur Derouineau pour la Petite Eglise du Poitou, et Monseigneur Moreels pour la Belgique. Enfin, depuis 2021, la Petite Église Apostolique Vieille Catholique est membre de la Conférence des Églises Syriaques Orthodoxes Non-Chalcédoniennes Occidentales (CESONCO).
La Petite Eglise, selon les derniers chiffres officiels publiés en 2019, compte :
Aujourd'hui plus qu'hier, les membres de la Petite Eglise imposent les mains aux malades et chassent les démons et autres esprits impurs au nom de Jésus-Christ, Notre-Seigneur et notre Dieu.
A travers cette page, nous espérons répondre à la demande croissante d'hommes et de femmes en butte aux attaques du démon. Nous souhaitons aussi informer les chrétiens des dangers encourus, et ceux qui oublient souvent que le but du diable est de faire croire qu’il n’existe pas.
Cette page a pour but de pouvoir donner suite à la demande de tout chercheur de vérité et ainsi de toute âme ayant soif de Dieu, mais pas seulement : il se veut, en ces temps de la fin, un modeste outil d'évangélisation.
Faire connaître le Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu venu en chair pour sauver tous les hommes.
Nos missions et nos prêtres restent ainsi à l'écoute de toute personne, qu'elle soit croyante ou non-croyante.
Pour toute question ou demande, n'hésitez donc pas à nous contacter. C'est avec plaisir que nous vous répondrons.
L'exorcisme est une démarche spirituelle destinée à expulser une entité spirituelle maléfique qui se serait emparée d'un être animé (humain ou animal).
Cette démarche est souvent très éprouvante, tant pour l'officiant que pour la personne exorcisée. C'est un des sacramentaux les plus délicats qui soient, très couteux en énergie et en temps, et qui implique une grande présence et disponibilité de l'exorciste.
Selon la profondeur de l'enracinement du « mal » dont souffre l'exorcisé, il n'est pas rare qu'il faille recourir plusieurs fois aux services de l'exorciste afin d'éliminer par "couches successives" les empreintes néfastes.
L'exorcisme est un sacramental qui, s'il peut être complété par un soin « énergétique », n'est pas un soin pour autant. Cependant, un exorcisme peut soulager et accompagner la personne dans son processus de mieux-être.
Cette "autorité" sur les démons, Jésus l'a transmise à ses disciples comme nous le montre l'Évangile :
« Ayant convoqué les Douze, Jésus leur donna puissance et pouvoir sur tous les démons et sur les maladies pour les guérir » (Luc IX, 1)
« Ils expulsaient beaucoup de démons, ils oignaient d'huile beaucoup d'infirmes et ils les guérissaient » (Marc VI, 12).
« Les soixante-douze envoyés revinrent pleins de joie et dirent :
- Seigneur, même les esprits mauvais nous obéissent quand nous leur donnons des ordres en ton nom !
Jésus leur répondit :
- Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. Écoutez : je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions et d'écraser toute la puissance de l'ennemi, et rien ne pourra vous faire de mal. Mais ne vous réjouissez pas de ce que les esprits mauvais vous obéissent; réjouissez-vous plutôt de ce que vos noms sont écrits dans les cieux. » (Luc X, 17-20)
Ainsi, Jésus, après avoir fondé Son Église, a donné aux Apôtres "puissance et pouvoir sur tous les démons". C'est cette autorité conférée par Jésus qui est toujours à l'œuvre dans l'Église Catholique de nos jours et ce sont les Evêques -successeurs des Apôtres- qui en sont les garants.
Nos exorcistes pratiquent selon un cérémonial propre constitué de prières et de bénédictions. Ils peuvent utiliser de l'encens et des huiles saintes, comme le recommandent les Saintes Ecritures en Jacques V, 14 :
"Quelqu'un parmi vous est-il malade? Qu'il appelle les anciens de l'Eglise, et que les anciens prient pour lui, en l'oignant d'huile au nom du Seigneur ; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera; et s'il a commis des péchés, il lui sera pardonné."
Pour l'exorciste en effet, les infestations ou possessions sont des maladies spirituelles à traiter.
Après avoir étudié la démonologie pendant de nombreuses années, et toutes les ruses et les méfaits de Satan ;
Nous, Prêtres de Dieu, avons décidé de mettre tout en oeuvre pour déjouer ses pièges.
La plupart des magies noires viennent d’Afrique Noire, d’Haïti, et du Maghreb.
Cet « art noir » est l’art de nuire à d’autres humains par des puissances démoniaques.
Les théologiens moraux enseignent que la magie (l’âme-agit) peut-être neutralisée par la prière, l’exorcisme, ou la destruction de l’article ou du signe qui la relie avec les forces du mal.
Dans 99% des cas, les soi-disant "possédés" sont en réalité victimes d’envoûtement ou de nuisances à distance, quand cela n'est pas un trouble mental caractérisé (grande majorité des cas, hélas).
Mais la possession proprement dite se manifeste pendant le cérémonial de prière, l’entité essayant de se "cacher".
En cas de manifestations violentes, l’Exorciste devra placer sa confiance en Dieu.
La possession peut demeurer bien dissimulée, en particulier si elle commence tôt dans l’enfance.
Dans ces cas-ci, quelqu’un choisi par le Seigneur, peut identifier l’état apparent tout à fait par accident. C’est ce qui est arrivé dans la vie de PARTHENIUS, un Évêque du IVe siècle.
Le malin, pour ne pas le citer, a réussi à faire croire qu'il n'existe plus et quand nous en parlons, les gens se moquent : il peut donc agir à son gré.
Le chrétien doit mériter les grâces qu'il demande à Dieu par l'intermédiaire de ses prêtres afin qu'en échange de cette aide il puisse s'acquitter de sa dette spirituelle par un don. Il est donc normal que nos demandeurs se voient proposer une participation.
Tout ministère de l’Eglise vient de là...Ministère de charité et de compassion. Jamais Notre Seigneur n'a refusé de guérir un malade. C'est lui qui souvent demandait :
" Veux-tu guérir ? Crois-tu que je puisse faire cela ?"
"As-tu la foi ? Qu'il te soit fait selon ta foi."
Maintes fois, la guérison physique accordée était suivie de la guérison spirituelle : " Va en paix...tes péchés te sont remis." C'est la guérison de l'âme qui irradie l'être tout entier et qui prolonge son effet bienfaisant dans tout le corps. Il y a là une action psychosomatique indéniable de l'âme sur le corps, de l'esprit sur la chair, dans le pouvoir spirituel et la prière.
Aussi le bonheur et la joie se voient bien souvent sur les corps et illuminent les visages, tout comme la souffrance ou la peur les marquent douloureusement. Le ministère de la guérison spirituelle est un ministère de compassion et de miséricorde. Ce ministère spirituel fait partie intégrante de notre action pastorale, étant bien précisé que seul le médecin est qualifié pour établir un diagnostic et prescrire un traitement médical. Le prêtre n’agit qu’en se référant à la prière faite au nom du Christ, et selon son commandement, jamais en son nom personnel.
C'est également en Son nom que nous bénissons toutes les personnes qui nous rendront visite aujourd'hui sur cette nouvelle page web dediée à notre communauté.
La grâce de Jésus notre Seigneur, l'amour de Dieu le Père, et la communion de l'Esprit Saint, soient toujours avec vous. (2 Cor XIII, 13)
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